Notre groupe coopératif agroalimentaire rassemble 20 000 agriculteurs et 9000 collaborateurs, essentiellement basés en Bretagne. Nous avons donc un attachement très fort mais aussi une responsabilité vis-à-vis de ce territoire. Ainsi, c’est tout naturellement que nous avons décidé de devenir partenaire du FEB. Nous avons souhaité soutenir cet événement unique en Bretagne, qui ouvre de nouveaux horizons en rassemblant des acteurs économiques de tous les secteurs d’activité, tant publics que privés. Car nous sommes convaincus que nous ne pourrons relever les défis de demain (défi climatique, attractivité de la Bretagne, compétitivité…) que par la force du collectif.

La crise sanitaire a montré à quel point la solidité des filières agroalimentaires était stratégique. Pendant le premier confinement en particulier, nous avons pu mesurer combien c’était une chance pour la France, et plus particulièrement la Bretagne, de disposer de filières agroalimentaires fortes, avec tous les maillons (production, transformation et distribution) sur le territoire. Il y a eu une prise de conscience salutaire sur la question de la souveraineté alimentaire. Si on veut manger français demain, il faut pouvoir produire français et transformer français. Mais il faut le faire différemment, en intégrant les nouveaux enjeux : transition agroécologique, nouvelles attentes des consommateurs et des citoyens, renouvellement des générations d’agriculteurs, décarbonation de nos activités, digitalisation et nouvelles technologies.... C’est sur tous ces sujets que nous travaillons chez Eureden. Notre objectif, c’est d’être le leader du bien-manger en Bretagne.